09 et 12 février 2019
Punakaiki est un petit village de 70 habitants sur la côte ouest, mais tellement charmant. Il y a un endroit appelé « Pancakes Rocks » où les rochers ont la forme d’une pile de crêpes; encore un exemple de la puissance des éléments pour façonner le paysage. C’est aussi dans cette région qu’on trouve une espèce endémique de dauphins: les Hector’s dolphins, en voie d’extinction. On les a d’abord aperçu au loin depuis le falaise, puis le soir au magnifique coucher de soleil! Un vrai spectacle émouvant. Le lendemain matin, changement de décor, nous marchons dans le parc national Papaora, le long de la Pororari rivière et avons sous les yeux une superbe forêt tropicale avec des palmiers, des fougères et des arbres aux racines immenses recouvertes de mousse. L’après-midi, en voiture, nous voyons encore quelques dauphins, dans leur milieu naturel, jouer à 100 mètres de la plage et décidons de nous arrêter. Instant MAGIQUE: Nico va nager au milieu d’eux malgré la fraîcheur de l’eau et les courants marins traîtres!!! Les petits « hectors » sont curieux et joueurs, ils l’approchent et l’entourent! Un moment inoubliable, un des plus beaux de notre voyage!
Nous atteignons le nord de l’île du Sud et nous arrêtons à Maharau, point de départ pour une randonnée dans le parc national Abel Tasman. Celui-ci fait 60km de mer scintillante, de sable dorée et de forêt côtière qui se parcourt habituellement sur 3 à 5 jours, et pour les flemmards, il y a les « water-taxis » qui déposent d’un point à l’autre. Notre balade (23km aller-retour) longe les plages et le parcours dans la forêt offre une vue continue sur la mer de Tasman. Baignade rafraîchissante dans une petite crique et couleur de l’eau dont on ne se lasse pas. Dodo à Richmond dans un camping sympa.